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S’inscrire en master ? Plus tard ! Damian nous explique pourquoi Rimann était prioritaire
Damian Klingler préfère prendre les choses en main plutôt que de réfléchir longtemps. Relever des défis, c’est son dada. En fait, il voulait tout de suite se lancer dans son master après son bachelor, mais Rimann s’est interposé. Dans cette interview, il nous explique pourquoi il a changé ses plans sans hésiter et ce qui lui plaît particulièrement dans son travail.
L’essentiel en bref
- De la pratique plutôt que de la théorie : Rimann a exaucé les souhaits de Damian.
- L’équipe ? Compétente, détendue, familiale. Exactement sa tasse de thé.
- Après son stage, il est passé chef de projet, fonction lui offrant une certaine diversité et liberté.
- Il accompagne les projets, de leur idée initiale jusqu’à leur exécution réussie.
- Et cerise sur le gâteau : il a la possibilité de se défouler en privé sur son établi.
Cher Damian, qui es-tu et que fais-tu actuellement chez Rimann?
«Je m’appelle Damian Klingler et travaille comme chef de projet chez Rimann. J’aime le changement, suis toujours en mouvement et cherche constamment à relever de nouveaux défis. Des responsabilités ? Donnez-m’en ! Je suis discipliné, endurant et m’entends bien avec les gens. Ça aide au travail, c’est sûr.»
Pourquoi as-tu repoussé d’un an ton inscription en master pour travailler chez Rimann?
«Après mon bachelor, j’ai compris une chose : j’avais besoin de pratique ! Rimann était l’occasion rêvée de prendre un vrai départ, en assumant des responsabilités et en suivant un apprentissage intensif. L’esprit d’équipe a tout de suite été au rendez-vous. Il faut dire que l’environnement de travail est génial. Rétrospectivement, c’est certainement l’une des décisions que j’ai eu le plus de facilité à prendre dans ma vie.»
Qu’est-ce qui t’a particulièrement convaincu de faire ce pas chez Rimann?
«Très clairement : l’équipe. Mes collègues sont de vrais professionnels dont j’apprends énormément. En même temps, les relations y sont familiales et décontractées. C’est un plaisir de travailler ainsi. Et puis, on ne s’ennuie pas : Rimann est actif dans de nombreux secteurs, tous passionnants, comme la santé, l’horlogerie ou l’industrie d’usinage. En plus, on m’a tout de suite fait confiance. Parfois, c’était vraiment dur d’être jeté dans le grand bain, mais c’est précisément ce qui m’a stimulé.»
Quelles sont tes principales missions en tant que chef de projet et à quoi ressemble ta journée de travail lambda?
«Lambda? Je ne connais pas ce mot ! Les tâches qui me sont confiées vont de la planification de projets à la construction de machines et de paniers de lavage, en passant par le conseil aux clients. Par ailleurs, je suis souvent en déplacement sur les chantiers, où je dois surveiller les installations et m’occuper des problèmes techniques. Je préfère en effet résoudre ces derniers de concert avec nos fournisseurs. Il arrive même parfois que je puisse effectuer de petites tâches manuelles ou élaborer mes propres pièces de rechange pour des appareils, ce qui me permet d’agréablement varier les plaisirs.»
Qu’est-ce qui te plaît le plus dans ton travail chez Rimann? Y a-t-il quelque chose qui t’enthousiasme particulièrement?
«J’aime accompagner les projets de A à Z. Ce moment où l’on constate que tout fonctionne et que le client est satisfait n’a pas son pareil. En outre, j’ai le loisir d’être mon propre chef, ce qui est très appréciable. Sans compter que j’ai également la possibilité d’être créatif à titre privé : j’ai ainsi fabriqué brasero pour mes parents, que j’ai pu souder dans l’atelier. C’est ce genre de choses qui rend ce travail unique à mes yeux.»
Quel master envisages-tu de suivre et quels sont tes objectifs pour l’avenir?
«Honnêtement, je n’ai encore rien décidé. Peut-être un master classique en ingénierie mécanique. En ce qui concerne mon avenir, je ne me ferme aucune porte. J’aimerais acquérir de nouvelles expériences, comme par exemple travailler aux États-Unis. Je suis convaincu d’une chose : quand on veut, on peut.»
Quels sont tes passe-temps favoris et qu’est-ce qui te passionne en dehors du travail?
«Je suis un grand sportif : gym, fitness, vélo de course. Je suis toujours en mouvement. En outre, j’aime organiser de grands événements ainsi que diverses activités entre amis. Mon violon d’Ingres ? Pêcher ! J’ai découvert cette activité à l’âge de quatre ans chez une grand-tante en Alaska, et depuis, j’en suis passionné. Rien de tel que de profiter simultanément du calme et de la nature... mais aussi du moment où le poisson mord à l’hameçon.»